✨En 2023… Il y aura peut-être, cette année comme les précédentes, des moments de joie, des bonheurs, petits et grands, de l’amour fulgurant, de la plénitude, des félicités. Je vous souhaite de savoir les déceler, les retenir, les provoquer ! Je vous les souhaite tellement nombreux. Il y aura peut-être, cette année, comme en 2022, des paysages magnifiques à contempler, des chemins de terre, de mousse ou de cailloux à suivre, des jardins à visiter. Je vous souhaite de savoir les préserver, de vivre au maximum dehors, au contact du reste de la nature et de ressentir à quel point vous faites partie de tout cela.
✨ Il y aura peut-être, cette année encore, des recettes à tester seul.e ou à plusieurs mains, des plats à partager en famille, des repas à table avec des proches. Je vous souhaite de cuisiner avec conscience et générosité, d’ouvrir votre maison comme votre cœur, et aussi de savoir recevoir en retour. Il y aura peut-être, cette année aussi, des concerts auxquels assister, des chansons à fredonner, de la musique à écouter. Je vous souhaite d’en prendre plein les oreilles, de vibrer, de danser, de vous sentir tellement vivants dans vos corps en mouvement.
✨ Il y aura peut-être, en 2023 comme précédemment, des livres à dévorer, de la poésie pour rêver, des textes beaux à pleurer. Je vous souhaite des lectures qui bouleversent, qui enrichissent et font se réinventer, et se redécouvrir, aussi ! Il y aura aussi peut-être, cette année comme toutes les autres, des moments difficiles, des épreuves à traverser, des challenges à relever. Je vous souhaite de trouver la force de les surmonter, les ressources pour vous entourer, le réconfort que vous méritez.
🌲Mais il y aura surtout, en cette année 2023, de l’inattendu que nous ne saurons pas maîtriser, des imprévus avec lesquels il nous faudra composer, des événements que nous ne pouvons même pas imaginer. Je vous souhaite de savoir lâcher prise, d’accueillir chaque instant en faisant de votre mieux, en fonction de là où vous en êtes.
🌲Mais il y aura certainement, en 2023, d’autres manifestations prévisibles du réchauffement climatique, de nouvelles espèces qui vont disparaître pour cause de 6ème extinction de masse, des inégalités sociales qui vont continuer de s’accroître. Je vous souhaite de ne pas feindre la surprise, d’ancrer vos pratiques personnelles et professionnelles dans ce que la science et le journalisme indépendant nous racontent, de remettre du sens dans votre vie en vous engageant, même modestement, même à petite échelle, pour que cela cesse.
✨Je vous souhaite une excellente année 2023.✨
🌲 Sur mon journal-grimoire fait maison, la page de garde du mois de janvier a été réalisée par collage d’anciennes diapositives pédagogiques de sciences naturelles sauvées de la poubelle.
⛔️ J’évite, tant que faire ce peut, de faire des commandes en ligne sur Internet. L’acheminement des colis n’est pas neutre sur le plan du bilan carbone, et l’emballage est souvent hasardeux. Papier bulle non nécessaire, plastiques en tous genres, carton bien trop grand par rapport à l’objet commandé, kilomètres de scotch marron pour maintenir le tout dans le meilleur des cas, carton éventré sinon, goodies en tous genres non demandés, bref, c’est souvent la catastrophe. Sans compter que je boycotte évidemment tous les « géants » de la vente en ligne qui n’offrent pas de conditions éthiques et socialement acceptables de production ou de commercialisation.
🤷🏻♀️ Mais il y a quelque chose que j’achète encore neuf car j’ai du mal à le trouver en boutique à Bordeaux, c’est ma lingerie ! Je la choisis cousue en France, avec des matières naturelles et biologiques si possible, ou recyclées. Seules quelques marques répondent à mes critères, ce sont des marques émergentes, peu distribuées en boutiques. Il m’a donc fallu passer commande pour renouveler un ensemble de lingerie dans mon dressing minimaliste.
🤒 Au moment de passer commande, la fièvre des déchets générés par cet acte s’empare de moi et me fait culpabiliser, je visualise la chaîne de production des cartons et les kilomètres parcourus, je prends conscience du bilan carbone généré par ma commande, j’implore le pardon du vivant pour cet acte qui n’est pas anodin en terme écologique, je sais que je me désaligne, et je connais d’avance le travail sur moi nécessaire pour me retrouver. Heureusement, ce geste éprouvant ne se produit que quelques fois par an.
💚 Lors de cette dernière commande j’ai eu la belle surprise, au moment de sélectionner le mode de livraison, de pouvoir choisir un emballage réutilisable. Une première pour moi, j’ai évidemment opté pour cette proposition, soulagée de cette possibilité, heureuse de rester ancrée dans ma démarche écologique ! Mon colis a donc été livré dans ma boîte aux lettres, contenu dans une enveloppe renforcée, fermée par une fermeture éclair et maintenue par un lien témoignant que le colis n’a pas été dézippé en cours de livraison. C’était chouette et intrigant !
🌿 Sur cette enveloppe particulière, un mode d’emploi explique précisément la marche à suivre pour la renvoyer chez le fabricant, Hipli afin qu’il puisse s’en servir à nouveau. Cette enveloppe est donc consignée, elle servira à nouveau et jusqu’à 100 fois, c’est top l’économie circulaire ! Elle porte bien son nom, car il s’agit de la replier justement, et c’est d’une simplicité enfantine, pour faire apparaître l’adresse du destinataire, et l’insérer à nouveau dans une boîte à lettres. Elle sera expédiée gratuitement, ce qui est motivant pour participer à cette boucle vertueuse, mais en plus, renvoyer l’enveloppe nous assure une réduction choisie chez un des partenaires de cette belle initiative, double récompense !
💚 J’ai découvert le contenu de mon colis en ouvrant la fermeture éclair, trop facile : j’ai la joie de ne pas avoir de scotch à déchirer, à découper, celle de ne rien avoir à mettre à la poubelle, cette enveloppe particulière s’inscrit tout à fait dans ma démarche zéro déchet, et enfin celle de savoir que l’expédition d’un prochain colis ne nécessitera pas d’exploitation de ressources supplémentaires pour fabriquer un autre emballage ! J’adore cette idée et je ferai désormais de cet emballage réutilisable un critère supplémentaire pour choisir mes commandes en ligne lorsque je ne peux les éviter ! Hipliplip hourra !
🌾 À vous de semer votre Graine en partageant vos expériences d’emballages réutilisables ou vos mauvaises surprises au déballage de vos commandes !
🍉Vous ne pouvez plus me louper, mes chevilles ont enflé et ma tête a pris le melon. Exit la petite blogueuse discrète et ma petite communauté engagée, topissime et bienveillante dont je connais presque chacun.e par le prénom ou le pseudo, je deviens désormais une influenceuse-qui-se-la-pète reconnue (presque) mondialement : j’ai eu la surprise de voir franchir la barre des 1 million de vues pour une de mes petites vidéos sur le zéro déchet en cuisine publiée sur Facebook !! 1 000 000, c’est fou non ?! (Promis je redescends sur Terre dès demain!)
🤷🏻♀️ Évidemment, avec un tel succès, ma vidéo a rencontré un public auquel je ne suis pas habituée : c’est d’ailleurs en lisant les commentaires inhabituels de gens inconnus que j’ai compris qu’il y avait du buzz autour de cette vidéo et que j’ai appris, à cette occasion, comment voir le nombre de vues de mes vidéos ! Parmi ces commentaires, pas mal issus de rageux impolis auxquels je n’ai pas pris le temps de répondre : parlons-nous comme nous le ferions dans la vraie vie que diable ! et d’autres, critiquant certains gestes de ma démarche en se voulant vraiment constructifs ou avisés mais avec un manque évident de connaissances écologiques.
🪵Un débat a notamment émergé concernant le bois et le plastique dans la cuisine : mes ustensiles sont à la grande majorité voire à l’unanimité en bois. J’ai hérité de la collection de cuillères en bois de ma mère, j’en ai récupéré d’autres chez des amis, enfin, j’en ai acheté aussi chez une boisselière, souvenez-vous. Pour le reste, certains viennent du commerce, et, si la plupart sont Made in France, il y en a aussi en bambou qui doivent venir de l’autre bout du monde, nobody’s perfect. Et bien beaucoup de gens ont critiqué mes ustensiles en bois, disant qu’il serait préférable de posséder des accessoires en plastique, pour sauver les arbres et épargner les forêts.
🌳 S’il est évident qu’il est nécessaire de couper des arbres pour fabriquer des choses en bois, il faut savoir que les fabricants ne vont pas s’approvisionner dans des forêts sauvages, mais plutôt des forêts entretenues voire conçues pour être exploitées. Certes, les arbres sont coupés, abattus et c’est très triste, mais ils sont généralement replantés pour continuer à alimenter la chaîne de production. Le plastique, lui, rappelons-le, provient de l’exploitation et de la transformation chimique du pétrole. En terme de production, déjà, la fabrication du plastique est bien plus problématique que celle de l’utilisation du bois en terme de bilan carbone.
♻️ Mais surtout, arrivé en fin de vie, les parties en bois de mes ustensiles iront au compost et se dégraderont lentement pour enrichir les sols, retourner à la terre dont ils proviennent et ne laisseront aucune trace de leur existence. Voilà pourquoi je les privilégie dans ma démarche zéro déchet.
📛 Les parties en plastique, elles, génèrent de microdéchets à chaque usage, chaque cycle de lavage. À la fin de la vie de l’ustensile concerné, elles finiront à la poubelle, et seront soient incinérées, soient enfouies, pour au moins 450 ans. Elles vont ensuite se fragmenter petit à petit en microparticules puis en nanoparticules, qui vont se retrouver au milieu de l’océan, et venir nourrir le 7eme continent de plastique réuni grâce aux gyres océaniques. Ces particules vont se retrouver dans l’écosystème marin, sur nos côtes, dans l’estomac de la biodiversité marine, gagner la chaîne alimentaire, se retrouver dans nos corps à nous. On en trouve déjà dans le placenta et dans le cerveau des nouveaux-nés. On en trouve déjà dans des analyses de sang. Le plastique et ses microparticules sont un fléau à considérer avec autant d’attention que le réchauffement climatique. Il va avoir un impact crucial sur l’extinction des espèces, et donc sur notre survie, puisque nous sommes tous interdépendants.
💦 Et les choses ne vont pas en s’arrangeant, la production de plastique a augmenté de 80% entre 2000 et 2015 et que cette augmentation est exponentielle. Les scientifiques sont très inquiets. Comment je le sais? Je viens de passer ma journée à assister au colloque « Micropolluants dans l’eau, impact sur la biodiversité » organisé par l’agence de l’eau Adour-Garonne à la Cité du Vin de Bordeaux. Ce que j’ai entendu aujourd’hui, ce sont des scientifiques qui, grâce à des mesures de plus en plus fines, découvrent l’étendue de la contamination des eaux par les particules de plastique et leurs additifs qui donnent à chaque plastique sa spécificité d’usage et rendent leur recyclage très difficile. Ce que j’ai entendu aujourd’hui, ce sont des sénatrices qui expliquent que c’est difficile de faire bouger les lignes rapidement en matière de législation pour encadrer notre usage et notre consommation de plastique. Ce que j’ai entendu aujourd’hui, ce sont des responsables d’ONG et d’agences nationales pour l’eau et les forêts et des anthropologues qui savent bien que le traitement des eaux ne suffit pas devant l’ampleur des dégâts d’aujourd’hui ou à venir, et qu’un changement radical vers davantage de sobriété dans nos modes de vie doit advenir rapidement.
💪🏻 Ce que j’ai entendu aujourd’hui devrait être diffusé à la télé à une heure de grande écoute, devrait être enseigné à l’école, au collège et au lycée en cours d’écologie, devrait être pris en compte dans chaque programme électoral. Et cela devrait nous inciter, dès maintenant, à ne plus jamais consommer de plastique, ni dans notre cuisine, ni dans nos vêtements, ni ailleurs. Pour illustrer mon article j’ai choisi de vous montrer la jolie carafe que mon amie Cécile m’a offerte. Bien commun de l’humanité, l’eau n’a pas de prix tant elle est précieuse. Nous en sommes tous responsables, nous en sommes tous dépendants, elle est vitale. Pour la préserver, pour nous préserver, choisissons toujours, lorsque cela est possible, une alternative au plastique !
À vous de semer votre Graine d’alternative au plastique en commentaire!
🪧 C’est bien pratique : Greta Thunberg tient le décompte de ses vendredis de grève de l’école pour le climat, moi je n’ai qu’à ôter deux à son triste record de mobilisation (car toujours nécessaire hélas), pour connaître mon temps passé dans la démarche zéro déchet. C’est ainsi, grâce à Greta, que je sais que je suis dans ma 189ème semaine.
💪🏻 189 semaines à refuser l’inutile, le superflu, la pollution plastique, le gaspillage des ressources planétaires !
🥕189 semaines à retrouver le sens des courses alimentaires, à choisir le produit et non la marque, à comparer la fraîcheur et non le marketing, à questionner la provenance et non la publicité.
💚 189 semaines à sentir la démarche infuser dans les autres facettes de ma vie : garder l’amour et délaisser les haineu.x.ses, favoriser l’attention aux moments et ne plus m’attacher aux choses matérielles, essayer d’être plutôt que d’avoir.
🌱189 semaines à préparer sacs à vrac, contenants réutilisables ou consignés, bocaux dépareillés dans mes placards, comme autant de remparts à une société de surconsommation obèse de se perdre dans des injonctions éphémères et créatrices de frustrations, d’avidité à posséder toujours plus, plus loin, plus mieux, plus comme les autres.
🌎 189 semaines que cette démarche concrète, pragmatique et quotidienne me montre la voie de la pleine conscience de l’impact de nos gestes sur l’environnement et sur notre santé, comme celle de la propagation des microplastiques dans nos corps encore organiques mais pour combien de temps encore ?
🐘 189 semaines de gestation éléphantesque d’une vision radicalement différente de nos pratiques sociétales, de nos interactions interpersonnelles, de nos politiques dictées par des lobbies du CAC40, de notre démocratie malade, de nos sources d’information muselées par les puissants.
👊🏻 189 semaines d’activisme citoyen à lutter pour une loi climat digne de ce nom, à soutenir le travail de la convention citoyenne, à m’engager pour l’écologie, partout, tout le temps.
⛔️189 semaines qui m’amènent tout naturellement à refuser les déchets que sont la haine, la dictature, la pollution de nos vies par le racisme, le fascisme. Elles m’amènent à refuser les déchets d’une politique portée par celle dont je ne veux même pas prononcer le nom, tant ses valeurs sont incompatibles avec les miennes. Elles me rappellent, toujours, que le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas.
🤦🏻♀️ Je viens de passer devant la vitrine d’un espace de réalité virtuelle sur laquelle une affiche présentant un homme avec un casque sur les yeux annonce : « Venez avec vos amis apprendre à survivre sur Mars ». J’ai pensé que c’était quand même bien dommage de devoir payer pour mettre un casque et n’être finalement que virtuellement avec ses amis pour apprendre la survie sur Mars, alors qu’il suffit d’ouvrir les yeux sur la situation écologique actuelle pour avoir envie d’apprendre, gratuitement de surcroît, à survivre, en tant qu’espèce, sur Terre! Je suis pourtant très joueuse ! Vous aussi ? Allez, on fait une partie? ! La règle du jeu est simple, nous devons remplir notre mission : sauver la planète du réchauffement climatique en limitant notre empreinte écologique. Comment y arriver ? Il s’agit d’explorer les trois mondes de la déconsommation, en n’investissant que dans ce dont on a réellement besoin et d’éviter de se débarrasser trop vite d’objets qui peuvent resservir différemment, de redonner du sens à sa consommation. Tout le monde est prêt ?
🌍 Première tour de la partie, premier monde à explorer : celui où nos objets sont transformés quand ils arrivent en fin de vie. On commence doucement… Pour passer le niveau 1: Action ! Transformer une chaussette trouée en tawashis, ces éponges lavables d’origine japonaise que l’on peut réaliser à l’aide d’un métier à tisser et qui remplacent nos éponges en plastique jetables. Pour passer le niveau 2 : Action ! Couper et coudre une housse de couette usée en sacs à vrac et/ou pochons pour mon calendrier de l’avent. Vous pouvez tirer une carte Échange et faire le troc d’une demi-journée de machine à coudre contre quelques pots de confiture ! Pour passer le niveau 3 : Action ! Métamorphoser un meuble d’une chambre d’enfant en changeant les poignées et donnant un bon coup de pinceau pour changer sa teinte et l’utiliser dans une autre pièce. Vous pouvez tirer cette fois une carte Recyclerie : location d’une ponceuse possible ! J’ai passé ces premiers niveaux haut la main, et vous?
🌎 Deuxième tour de la partie, on se retrouve dans le 2ème monde à explorer ! La partie devient plus stimulante puisque dans ce monde il s’agit de détourner des objets de leur usage (désuet le plus souvent) pour les utiliser au quotidien et éviter l’achat du produit offrant la fonction désirée. Pour passer le niveau 1 : Action ! Utiliser une carafe comme vase pour les fleurs. Attention : si la carafe est vintage ou de seconde main, vous avez gagné un bonus ! Pour passer le niveau 2 : Action ! Détourner une petite barrique (le défi est valable aussi avec un touret d’électricien ou une caisse de bouteilles de vin) pour s’en servir comme table basse. Pour passer le niveau 3 : Action ! Transformer des palettes de chantier en meuble dans la maison, table basse ou meuble de télévision. Vous pouvez utiliser deux cartes Recyclerie différentes : la carte Louer le matériel nécessaire ou celle Apporter les palettes sur place pour apprendre à construire le meuble (la 2ème option permet de gagner en compétence, elle vous donne droit à un bonus elle aussi !)
🌍C’est parti pour le dernier tour de jeu, qui est encore dans la course ? Le troisième monde est le top du top, celui du Graal écologique, c’est celui dans lequel un même objet a plusieurs fonctions à la fois : un seul achat ou un seul aménagement répond ainsi à différents besoins, c’est la clé du minimalisme et de la fin de la dépendance à la consommation ! Pour passer le niveau 1 : Action ! Posséder un vêtement qui peut être porté en toute saison, en (presque) toute occasion, selon les accessoires qui l’accompagnent. Pour passer le niveau 2 : Action ! Aménager un espace dans sa maison qui soit multifonction : chambre d’ami, bureau et atelier de couture ou cellier, buanderie, serre ou encore couloir, coin lecture, espace yoga. Pour passer le niveau 3 : Action ! Disposer d’un ingrédient multifonction, zéro déchet, local et bio dans son garde-manger qui peut servir de base à la fois à la réalisation de plats sucrés et de plats salés, pour éviter la multiplication des bocaux et réduire la taille ou le nombre des placards nécessaires pour le stockage des denrées alimentaires.
🏅Ce que j’aime dans ce jeu, c’est qu’on est tou.te.s dans la même équipe ! Si je gagne, nous gagnons tou.te.s ! Nous gagnons tou.te.s à économiser les ressources de la planète, nous gagnons tou.te.s à préserver les écosystèmes, nous gagnons tou.te.s à diminuer notre empreinte carbone. Surtout, nous gagnons tou.te.s en compétences d’imagination et de savoir-faire et en réappropriation de nos espaces et de nos vies.
👏🏻 Pour celleux qui ont eu un bonus, bravo! Vous venez de gagner la recette réalisée avec mon ingrédient multifonction. C’est le maïs, du maïs bio, local et acheté en vrac qui, transformé me permet d’improviser un apéritif entre amis, un goûter avec mes adolescents et même une soirée en amoureux devant un bon film.
👩🏻🍳 Sur la photo, c’est une version salée pour un apéritif dont voici la recette :
Faire éclater les grains de maïs dans une cuillère d’huile d’olive dans une casserole avec couvercle.
Quand le pop-corn est formé, ajouter à nouveau une cuillère à soupe d’huile d’olive, du persil ciselé (permapotager), 2 c. Aà soupe de ketchup de tomates vertes (fait maison avec les tomates du jardin, recette déjà partagée ici), mélanger le tout, c’est prêt!
✨À vous de semer votre graine en partageant en commentaire les mondes et les niveaux franchis!
Le blog de l'Engraineuse 